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agrandir l'esprit humain

29 mai 2019

appel a contribution

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Thematique: 

 

L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET LA TRANSFORMATION SOCIALE

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29 mai 2019

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29 mai 2019

APPEL A CONTRIBUTION: COLLOQUE INTERNATIONAL. THEME: L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET LA TRANSFORMATION SOCIALE

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15 mai 2019 : date du lancement.

15 au  30 Août 2019: date d'envoi des contributions.

 

20-21 janvier 2020: tenue du colloque à l'UPSAC aux Cayes.

 

Sous une initiative de Centre de Recherche et d'Initiative Juvénile pour l'Émancipation de la Culture(CRIJEC) et de Wilson Dolcin.

 

Cette initiative fait suite à la publication du livre de Wilson Dolcin: Dialogue avec l'Université (2018), préfacé par Jean-Jacques Cadet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ARGUMENTAIRE

 

Depuis bien des décennies, un grand nombre de crises menace le fondement de la nation haïtienne  tandis qu’aucun effort d’explication n’est entrepris par l’Université en Haïti. Sans doute, ces crises proviennent-t-elles de divers horizons ayant pour conséquence la corruption, le chômage, le banditisme, l'insécurité, la peur, la politicaillerie, l'incompétence, la médiocratie, la mauvaise gestion des deniers publics et la misère propulsant la gangrène  nationale. C’est l’idée manifeste d’une socio-histoire d’un engagement politique qui implique la contribution des lettrés haïtiens ( Délide, 2015). D’ailleurs tout se fait en présence de cette institution universitaire en Haïti, une entité de haute valeur qui, semble-t-il, est incapable de remplir ses missions de manière efficace face aux multiples dysfonctionnements structurels de la société. Beaucoup de gens pensent qu'elle devait  “ jouer son rôle (social) révolutionnaire en élaborant des résolutions… aux multiples dysfonctionnements structurels de la société en appuyant sur une culture de l'intelligence axée sur la méritocratie, l'invention et le renouvellement constant des horizons épistémologiques[1]” a connoté le préfacier Jean- Jacques Cadet.

 

Bien au contraire, d'autres posent le problème de son implication (implication de l’université) dans un complot qui se fait avec les classes dominantes mondiales et nationales contre la communauté qu’elle doit servir conformément à sa troisième mission: service à la communauté (Dolcin,  2018).

 

Dans ce cas précis, demandons- nous  est-ce que la société haïtienne doit périr ou effondrer sans aucune forme de procès ou sans aucun effort pour sortir du mal diagnostiqué? Le procès qui parle plus haut est celui de «  La production (qui) est inconcevable sans moyens de travail. Les moyens de travail sont l’ensemble des choses servant aux hommes pour agir sur les objets de travail en vue de les transformer[2] ». Dans ce cas précis, l’approche marxienne( Karl Marx) du matérialisme historique répérée dans sa onzième thèse sur Feuerbach[3] a été une analyse plus normative que positive[4], c’est – à- dire, l’énoncé normatif cherche à déterminer ce qui devait être dans le monde et repose sur un jugement de valeur tout en surpassant l’énoncé positif sur la description de l’état (l’aspect) du monde. Nous statuons sur « les forces productives » qui comprennent les moyens de production créés par la société, en premier lieux les instruments de travail, ainsi que les hommes qui les utilisent pour produire les biens matériels[5]».

 

Pour toucher à une particularité, cette société haïtienne a-t-elle déjà bénéficié le support de l'Université qui porte sa définition de centre de résolution de problèmes et qu'elle aidera la susdite société à sortir de ces déboires de la médiocratie vers un système social plus prometteur et collectif qui tient compte d'une réforme dans le système éducatif haïtien et les mesures de son application liées au réel vécu du milieu? Ou que la misère de la société haïtienne n'est pas un problème ou que ce problème ne doit pas être la préoccupation de l'Université ? (Dolcin, 2018).

« Considérée comme centre de résolution de problèmes, (pourquoi) l’université( en Haïti) n'a pas pour parvenir à une explication rationnelle des injustices qui se commettent dans le monde( particulièrement en Haïti) causant tant de pauvretés[6] »?

 

Voici une proposition de réponse: « L’Université (publique et privée) en Haïti n'arrive pas à expliquer les problèmes que traverse la société dans laquelle elle se trouve[7] ». Du même coup, un grand doute plane sur sa philosophie existentielle à cause d'incessantes crises qu'elle traverse elle-même et elle connaît des moments controversés de son histoire.  « Par manque des ressources humaines (personnes ressources) compétentes, son cursus est loin d'être innovant et elle perdure à produire des bureaucrates et des chômeurs qui ne savent point comment prendre l'initiative ni entreprendre » (Dolcin, 2018). C’est ce qui pousse le professeur Yves Dorestal à dire: « Ce sont des écoles supérieures réunies en Universités[8] ». Le manque repose sur le fait qu'elle n'entend pas encore à combattre l'inertie dans laquelle elle se trouve et « qu'en effet les universités haïtiennes ne publient pas des revues scientifiques et rarissimes sont les professeurs qui publient des ouvrages ou des articles scientifiques[9] », a observé le professeur Dorestal. De son coté, Jean- Jacques Cadet, doctorant en philosophie, souligne « pour que l'Université existe de plein gré, elle doit respecter ces trois missions: la transmission ( construction) de savoirs, la production de savoirs et le service à la communauté. La deuxième qui concerne la recherche est la plus efficiente dans un pays comme Haïti [10]».

 

Alors, “comment aider les étudiants à faire science liée aux techniques de la recherche (TIC: Technologie des Informations et de la Communication) pour « l'acquisition de compétences » au lieu de leur apporter des notions scientifiques conformes à l'accumulation de connaissances[11]? »

 

L'objectif de ce colloque est de permettre aux étudiants de faire science par une nouvelle unité d'enseignement plus adaptée au réel vécu du milieu (le milieu haïtien) ayant pour base la formation morale ou de caractère afin que ces derniers soient impliqués dans la transformation sociale de leur milieu? Mais, comment les professeurs d’Université en Haïti pourraient jouer ce rôle salvateur sans une méthodologie de la production de savoirs et de recherche alors qu'ils n'ont pas été mis à l'exercice de la production de savoirs lorsqu'ils étaient des étudiants?

 

C'est cette problématique que ce colloque entend soulever afin que la lumière soit faite et pour qu'il y ait une nouvelle expérience qui corrige les limites de l'ancienne (expérience).

 

Dans ce cas précis, sera-t-il de bon ton de faire place à « la pédagogie de libération puisque le professeur ne peut tout dire aux étudiants[12] ?»

 

Du Livre de Wilson Dolcin, « Dialogue avec l’Université » permet une prise d'initiative qui commence par un véritable mouvement révolutionnaire relatif à la bonne gouvernance, la gestion et l’administration efficace pouvant guider les dirigeants vers des décisions pour le bien-être de la nation haïtienne.

 

Ce colloque est une invitation à redorer le blason des chantiers abattus principalement ceux de « l’économie politique [13]» (John Stuart Mill, 1867 ; Nikitine, 1985). Voire, mettre Haïti sous les rails de la production et de la transformation sociale pour que les conseillers politiques et les scientifiques[14] abordent aussi bien « les éléments de court terme, tel que le cycle conjoncturel ou la politique de stabilisation, que ceux qui révèlent du long terme, et notamment la croissance économique, le taux de chômage naturel, l’inflation persistante ou encore l’impact de la dette publique[15] ». Il se compose sur les différents axes concourant à la production de connaissances en vue d'aboutir  à une initiative de transformation sociale, technocratique, agricole, commerciale ect. ayant pour objectif général de toucher à la corrélation entre l'Enseignement Supérieur et la transformation sociale tout en plaçant la recherche scientifique au centre de ces démarches nouvelles et salvatrices. Ces démarches sont l'œuvre essentielle de la productivité et de l'imagination conduisant à la croissance économique, la création d'emplois et de richesses.

 

 

 

 

 

 

LES AXES

 

L'appel s'articule autour de trois axes consécutifs:

 

1)               La production des biens matériels: cet axe souhaite collecter des données rationnelles liées au type d'éducation qui mérite d'appliquer en vue d’adapter une nouvelle méthode pour l’exploitation des ressources (humaines et matérielles) que promet notre milieu.

 

2)               La transformation des matières premières et l'intelligence artificielle: il s'inscrit dans le cadre de mise en place et de continuation des projets innovants permettant d'apprécier le marché mondial pour qu'Haïti soit capable d'intégrer au processus de la mondialisation en élaborant des stratégies basées sur une politique d'exportation.

 

3)               La création d'emplois, la croissance économique: Les économies stables  s’inscrivent dans une perspective de la création et de mise en place des mécanismes positifs et normatifs attirant des investisseurs nationaux et internationaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CONDITIONS

Les propositions comprendront un titre, un résumé (300 mots) muni d’un court argumentaire de 4000 mots, une notice bibliographique et les coordonnées de l’intéressé sont à envoyer  en Août 2019 à l'adresse suivante: wilsondauteur@yahoo.fr

 

QUELQUE DÂTES IMPORTANTES:

15 mai 2019: lancement

15 au 30 Août date: limite d'envoi des propositions de communication.

5 Novembre : réponse.

20 et 21 janvier 2020: tenue du colloque.

Avril  2020: publication des meilleurs textes sélectionnés  par le comité scientifique.

 

COMITÉ SCIENTIFIQUE:

Délide Joseph, Recteur de l’Université Publique du Nord au Cap –Haïtien (UPNCH), Ph. D en histoire, et postdoctoral au CNRS.

Herold Toussaint, Ph.D en Sociologie, Vice-Recteur aux affaires académiques à l'Université d'État d'Haïti(UEH).

Jean- Jacques Cadet, doctorant en philosophie, Université Paris 8 (France)

Edouard Jules,  ancien ministre chargé des programmes sociaux, Professeur, Recteur de l'UPSAC: Université Publique du Sud Aux Cayes et Ph.D en Fiscalité.

 

 

 

 

 

 

COMITÉ D'ORGANISATION

Wilson Dolcin, Directeur de recherche  de l’Université Chrétienne de la Foi(UCF), auteur. Ouvrage publié: “Dialogue avec l'Université...”

Walex Pierre, professeur à l’Université d’Etat d’Haïti (UEH), coordonnateur de Café Philo.

Jude Charles Faustin, L’ex-Député de la 49e législature, Conseiller de la présidence, homme politique.

Paul Yves Fausner, doctorant en Sciences Humaines et Sociales, directeur de la Direction  d'Enseignement Supérieur et de Recherches Scientifiques (DERS).

Marie Florance Jean-Pierre, Master en administration publique, professeure à l'IHECE, section de maîtrise en Aménagement du Territoire et  de Gestion des Collectivités Territoriales.

Volvick Germain Charles, Professeur et Directeur de la Direction d’Appui à l’Enseignement Privé et du Partenariat (DAEPP) au MENFP.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INTERVENANTS:

 

Délide Joseph, Ph.D en histoire

Jean-Jacques Cadet, doctorant en philosophie

Kemi Seba, panafricaniste.

Hérold Toussaint, Ph.D en Sociologie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIES:

Délide Joseph, L'État haïtien et ses intellectuels: socio-histoire d'un engagement politiques (1804-1860), Port-au-Prince, Le Natal, 2015.

Fénol Métellus, Le déficit productif et social des politiques de libéralisation commerciale d'Haïti, préface de Efrain Echevarria, Port-au- Prince, Éditions C3, 2011.

Gregory N. Mankiw, Macroéconomie, traduit de l’anglais par Jihad C. El Naboulsi, 8e édition, Pays Bas, Nouveaux Horizons, 2015.

Gregory N. Mankiw, Germain Belzile, Principes de macroéconomie, Québec, Beauchemin, 2004.

P. Nikitine, Précis d’économie politique, Moscou, Editions du Progrès, 1985.

Sauveur Pierre Etienne, Haïti, La République Dominicaine, et Cuba: État, économie et société (1492-2009), préface de Jonathan Friedman, Paris, L'Harmattan, 2011.

Wilson Dolcin, Dialogue avec l'université: nouvelle théorie comportementaliste sur la culture de l'intelligence, préface de Jean-Jacques Cadet, Port-au- Prince, Média-Texte, 2018.

Yves Dorestal, “L'Université haïtienne, quelle organisation pour quelle mission aujourd'hui?”, Conférence prononcée à l'université Quisqueya le 20 janvier 2012.

 

Contact:

Wilson Dolcin :  (509)47763752 / 48592944

Whatsapp : 50941860757

Volvick Germain Charles:  (509) 3170 4807

wilsondauteur@yahoo.fr



[1] Wilson Dolcin, Dialogue avec l'Université, Port-au-Prince, Média-Texte, dans Préface de Jean- Jacques Cadet, 2018, p.18.

[2] P. Nikitine,  Précis d’économie politique, Moscou, Edition du Progrès, 1985, p. 4.

[3] « Les philosophes ont interprété diversement le monde, mais il suffit de le transformer »

[4] Voir Gregory N. Mankiw, Germain Belezile, Principes de Macroéconomie, 2004, p. 26.

[5] P. Nikitine, Ibid, P. 5.

[6] Dolcin Wilson, op. cit. P. 35.

[7] Ibid. Dans préface de Jean-Jacques Cadet. P.17.

[8] Le Nouvelliste, L'impasse difficile de l'université haïtienne, public le 18-03-2014,(consulté en ligne le 18-02-2017).

[9] Ibidem.

[10] Dolcin Wilson,  Dans préface de Jean-Jacques Cadet, op. cit., p. 18. (Voir 4e de couverture)

[11] Wilson Dolcin, Dialogue avec l'université, Port-au- Prince, Média- Texte, 2018, cité par Jean- Jacques Cadet, p. 18.

[12] Ibid. p.49.

[13] « L’économie politique expose les sources et les conditions de la richesse et de la prospérité matérielle pour des ensembles déterminés d’êtres humains », cité par Gregory N. Mankiw, Macroéconomie,  Pays Bas, Nouveaux Horizons, 2015.

[14] Voir Gregory N. Mankiw, Germain Belzile, Principes de Macroéconomie, Pays Bas, Nouveaux Horizons, 2015, p. 26. « Les économistes se voient toujours en double personnalité : conseillers  politiques et scientifiques.

[15] Gregory N. Mankiw, Macroéconomie, traduit de l’anglais par Jihad C. El Naboulsi, 8e édition, Pays Bas, Nouveaux Horizons, 2015. p. XII.

 

29 mai 2019

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22 novembre 2018

L’économie de la Caraïbe au prisme de la mondialisation

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L’économie de la Caraïbe au prisme de la mondialisation


Réputée de « refuge des démunis », terre des métisses ; considérée entre autres comme un espace- projet où se concentrent des défis économiques qui attendent des projets de nature innovante et des réformes économiques initiatiques pour répondre aux exigences du XXIe siècle ; située dans l’hémisphère des Amériques du Nord et du Sud, la Caraïbe « s’inscrit dans un contexte économique, en dépit de ses potentialités touristiques, se lamentant aujourd’hui encore à son développement économique contrarié au manque d’intégration et d’ héritages institutionnels.


La transformation de la population caribéenne en capital humain est l’un des facteurs de développement économique dont le fondement est la production de connaissance. D’autres facteurs reposent sur la démographisation caribéenne transitée en « opportunités économiques majeures » en passant bien par l’axe Juvénil tout en se reposant sur la dynamicité des jeunes en croissance et mobilité. La diaspora haïtienne devait s’inscrire de l’une des plus considérables au monde. Elle devait être étudiée en termes de nouvelles perspectives économiques en impliquant dans l’investissement dans l’éducation et la formation technique par une prise en charge de gestion efficace des collectes au seuil des transformations liées aux modes de vie plus ou moins modernisés où cohabitent « tradition et modernité ». Et ses attractions touristiques ne la valent pas encore une économie qui entre en équilibre avec les pays développés de l’Hémisphère américain. La Caraïbe, munie des sites à potentialités touristiques et ses plages visitées dans une perception de paradis : le cas d’Haïti, à Labadie, le trésor n’est pas encore retrouvé par les habitants de la zone.


L’étude tend à localiser l’économie de la Caraïbe sur le plan de la mondialisation, un concept de Fernand Braudel considéré comme « système- monde », « économie- monde »ou « post-marxiste économique » défini dans la production de savoirs et « la transformation sociale » lié à la mission et la philosophie de l’Education. C’est l’un des facteurs clés de la productivité qui s’est prisé au deuxième rôle de l’université. Dans ce contexte, toute systématisation de la pensée n’est pas définie uniquement dans le savoir littéraire mais elle prend en compte la production agricole, technocratique ect., et entre en conformité à la croissance économique, à la création de richesses et la création « d’emplois décents ». Ce dernier fait exigence de compétences accomplies. Tout ceci encore est l’oeuvre de l’éducation dans sa politique et sa philosophie de transmettre la connaissance à l’homme afin que ce dernier puisse, par l’objectif de compétences acquises, concrétiser sa mission de perfectibilité. Nous sommes déterminés, sans faire une étude comparée, à lier le progrès économique de la Caraïbe à tout système éducatif prometteur à l’instar de la Finlande.


En étudiant la corrélation entre l’Université et l’économie nous soutenons que les ressources humaines que produit la caraïbe ne sont pas encore appliquées et aptes à doter la zone caribéenne d’un système économique régulateur, régénérateur et développementaliste lié à l’investissement dans le système éducatif.


Mot clés : Mondialisation, Caraïbe, économie, système éducatif.


Wilson Dolcin, le 15- 08- 2018.

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26 janvier 2018

LETTRE OUVERTE À MR DONALD TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

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LETTRE OUVERTE À MR DONALD TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

Monsieur le président,
En me référent à votre affirmation qualifiant Haïti « de trou de merde », je ne me suis pas précipité de dire le contraire, mais le bon sens m’impose de réfléchir autour d’elle, transformée à l’interrogation qui suit : « Haïti est –elle un pays de merde ?»

Aucune réponse rationnelle ne sera trouvée si l’on ne pose pas le problème que représente Haïti hier et aujourd’hui et la menace qu’elle représente demain sans la base de la conscience fondamentale liée à une observation directe, et qui, à notre avis ne sera pas isolée des faits. Les crises politiques, économiques, culturelles, sociales et structurelles que confronte Haïti et ces problèmes, créés par des acteurs de la science fétide, mettant Haïti au combat sanglant, finissent par l’étouffer qu’à tel point votre observation, monsieur le président, est pertinente. C’est que les élites d’Haïti sont, elles-mêmes, des complices qui liquident sa dignité à l’impérialisme international. Dès lors, Haïti est devenue déséquilibrée, désœuvrée, essoufflée, sanglotée, anémiée de tout élément défendeur d’où, il semble qu’elle ne peut pas se tenir et qu’elle est succombée de la manifestation de tout mal et dépourvue de tout système d’éducation prometteur d’un mieux être social, de tout système d’infrastructure rationnel et de tout système d’organisation et d’orientation des ressources humaines appliquées à son développement économique.

Monsieur le président,
Sur le plan qualitatif, votre argumentaire aurait un sens, si vos frères n’étaient pas des esclavagistes, des bourreaux, des agresseurs, des menteurs qui ont rougi la vérité, falsifiée l’histoire du monde, blasphémé ce qui est sacré (la vie) et nui à l’espèce humaine. Votre argumentaire tacite aurait un sens si les États que vous dirigiez n’avaient pas pillé le trésor d’Haïti avant, pendant et après l’occupation de 1915; si les États que vous dirigiez n’avaient pas combattu avec mauvaise foi, persécuté et quelque fois assassiné les hommes intègres et intelligibles d’Haïti dans des séances de coups d’états sanglants à l’origine de son instabilité politique comme par exemple les coups d’états de 1988, 1991, 1946 et l’enlèvement de 2004. Tous ces tracas d’Haïti ont été systématisés par votre homologue Mr. Franklin D. Roosevelt dans une littérature tristement déshumanisante et déshumanisée que voici : « Il faut soulever constamment les va-nu-pieds contre les gens à chaussures et mettre les gens à chaussures en état de s’entre-déchirer les uns les autres pour avoir une prédominance continue sur ce pays de nègre qui a conquis son indépendance par les armes… »

Vraiment, monsieur le président, un peuple éveillé ne restera jamais sous la corde maudite de cette formule aussi absurde que ça, jusqu'à accepter le statu quo des maux les plus odieux commis à l’espèce humaine; la misère la plus chronique imposée par la puissance États-Unienne et qu’aucun peuple ancien n’ait jamais subi durant deux siècles de son histoire après la prise de sa liberté (1804-2018) et trois siècles passés dans la servitude dans des conditions les plus féroces (1503-1804). De toute façon, Haïti devait éveiller pour se débarrasser de la puissance États-Unienne.

Monsieur le président,

Sur le plan quantitatif, vous n’êtes pas le premier à avoir pissé votre liquide raciste sur le peuple négro-haïtien, il semble que c’est pour la première fois qu’il se fait si grossièrement connu de ceux qui sont susceptibles de penser et de réfléchir pour systématiser en ce sens comme par exemple Joseph Arthur( comte de) Gobineau( 1853-1855), le père et champion du racisme. Sincèrement, il n’existe pas de chef États-Unien qui soit plus intègre que vous depuis Mrs John Hanson à Obama. Cependant, ces deux derniers présidents noirs états-uniens avaient employé une hypocrisie raffinée contre le Continent Noir, contre les pays de la Caraïbe et de l’Amérique Latine. Par contre, vous serez un grand président si votre intégrité se joint à un peu de culture, monsieur le président. Mais, on n’est jamais trop riche ni trop simple d’esprit et trop vieux à l’apprentissage. Je tiens à vous informer que depuis au XIXe siècle, Joseph Anténor Firmin(1885) a mis à mort la thèse raciste et sentimentaliste de Gobineau. Et que le siècle suivant, le savant africain Cheikh Anta Diop a mis à mort tous les théoriciens racistes de Hegel, Hume, Voltaire à Arnold Toynbee. C’était plus précisément dans les actes du colloque de Caire(1978), organisé par UNESCO en 1974 sur « le déchiffrement de l’écriture méroitique des peuples nubiens et le peuplement de l’Égypte ancienne »(Égyptologie)
Depuis ce jour-là, tous les blancs formés et cultivés ont compris l’apport de « l’Afrique à la civilisation », celle-ci a été la thèse gagnante soutenue par Cheikh Anta Diop. Une autre vérité scientifique devait être à votre avis, Monsieur le Président, que vous êtes frères d’origine des noirs. Ce qui présuppose que vous êtes héritier de la culture Négro-africaine. Il a été démontré par Yves Coppens qu’il existe une seule souche raciale de l’humanité (Voir Yves Coppens, l’Histoire de l’Homme, 2008). On peut comprendre qu’il existe deux types de Noirs dans toute l’humanité : des noirs authentiques d’où l’appartenance des Nègres d’Afrique et d’Haïti; et des noirs décolorés d’où l’appartenance des caucasiens et des aryens( auto-ethnonyme des premier européens).

Il n’est pas encore démontré d’autre souche référentielle à l’avènement de l’Homo que « la souche noire ». De telle investigation scientifique menée par Cheikh Anta Diop prouvant « l’apport de l’Afrique à la civilisation » est comprise par tous les civilisés du monde. Aucun homme cultivé du monde n’osera soulever ce débat stérile qu’un coin de l’humanité soit « de merde » avec planification méchante du « racisme institutionnel » (Voir Carmichael Stokely) et des hommes insensés liés étroitement aux idées crasses que la « merde » d’un pays soit la fierté des malfaiteurs occidentaux. Mais, là, tout homme qui n’est pas encore débarrassé de quelle que soit appartenance ethnique, est incontestablement ce qu’il planifie.

Nous sommes convaincus que vous n’êtes pas n’importe qui. Mais, votre intégrité, monsieur le président, si elle ne se joint pas à un peu de culture pourra vous qualifier d’impulsif et d’instinctif. J’ai peur pour vous, monsieur le président, car l’histoire n’aura pas de gomme. Cependant, vos frères occidentaux n’auront plus accès à la falsification de l’histoire moderne. Dans ce cas, de votre bonne foi, vous pouvez être victime de voir enfin que les dirigeants d’Haïti passent à l’examen de la conscience appliquée pour retirer ce pays dans la « merde ». Mais, Monsieur le président, soyez votre arrogance en ce qui est de la matrice de la liberté (Haïti), car, elle n’a jamais empêché les États-Unis à monter (NASA) en puissance et en intelligence (Anténor Firmin. L’effort dans le mal, 1909), mais, elle n’a trouvé que l’ingratitude de ces États qu’elle a soutenus depuis leur histoire existentielle.

Monsieur le président,

D’un coté, vous avez raison. Les perceptions permettant de qualifier Haïti de « pays de merde » ne sont pas isolées d’un système corruptif des dirigeants haïtiens depuis 1807 à nos jours. Qu’ils se ressaisissent aujourd’hui. Vous pouvez être le meilleur catalyseur à leur conscience évolutionnaire. Les élites haïtiennes trahissent la race. Elles sont des élites en transites et de nature prédatrice et enfin elles sont des purs ennemis d’Haïti.

D’un autre coté, la décadence de l’Amérique se joint à la « merde d’Haïti et des peuples d’Afrique ». De manière automatique, parler d’Haïti, c’est faire allusion aux noirs. Pourtant, un écrivain nous informe que « L’Amérique ne sera jamais en décadence à cause des noirs »( Roger Pereyfitte, les américains, P. 360) et la raison semble être aussi simple que ça « Là où tombe une goutte de sang noir, tout refleurit »( Ibid, p.360). Alors, tous les hommes de la deuxième catégorie des noirs, en l’occurrence les blancs ou noirs décolorés, faisant référence aux noirs authentiques, recourent à la nature de la chose soit pour tenter de falsifier de nouveau l’histoire moderne ou pour se faire voir. En éthique, cela a une valeur : principe de délibération, soit la règle d’un jugement. Par contre, tout noir décoloré, l’est à cause de la malformation de la synthèse de la vitamine D (Voir Yves Coppens, 2008). Cela ne doit pas à l’origine d’un conflit racial qui perdure jusque-là, parce que les noirs authentiques sont pour rien dans tout cela. C’est un ordre naturel que le noir cesse d’être « le grand problème » (Roger Peyrefitte, les américains p 359). À bien comprendre l’humanéité et la qualité bénignes des noirs, on finit par comprendre que « le problème est résolu », parce que tous les hommes civilisés ne peuvent qu’ « apprendre à aimer les noirs »(Ibid p. 359). Et bientôt, ils auront touché du doigt la nécessité imminente pour édifier une civilisation planétaire au model de Cheikh Anta Diop, parce que nous sommes tous venus de la même souche raciale et civilisatrice.
Monsieur le président,
« Restez naturel » comme vous l’êtes. Vous voulez entrer dans l’histoire, mais accrochez- vous à la règle sacrée : « Boire le rhum et respecter la bouteille »

Professeur Wilson Dolcin.
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26 janvier 2018

LETTRE OUVERTE À MR DONALD TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

LETTRE OUVERTE À MR DONALD TRUMP, PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

Monsieur le président,
En me référent à votre affirmation qualifiant Haïti « de trou de merde », je ne me suis pas précipité de dire le contraire, mais le bon sens m’impose de réfléchir autour d’elle, transformée à l’interrogation qui suit : « Haïti est –elle un pays de merde ?»

Aucune réponse rationnelle ne sera trouvée si l’on ne pose pas le problème que représente Haïti hier et aujourd’hui et la menace qu’elle représente demain sans la base de la conscience fondamentale liée à une observation directe, et qui, à notre avis ne sera pas isolée des faits. Les crises politiques, économiques, culturelles, sociales et structurelles que confronte Haïti et ces problèmes, créés par des acteurs de la science fétide, mettant Haïti au combat sanglant, finissent par l’étouffer qu’à tel point votre observation, monsieur le président, est pertinente. C’est que les élites d’Haïti sont, elles-mêmes, des complices qui liquident sa dignité à l’impérialisme international. Dès lors, Haïti est devenue déséquilibrée, désœuvrée, essoufflée, sanglotée, anémiée de tout élément défendeur d’où, il semble qu’elle ne peut pas se tenir et qu’elle est succombée de la manifestation de tout mal et dépourvue de tout système d’éducation prometteur d’un mieux être social, de tout système d’infrastructure rationnel et de tout système d’organisation et d’orientation des ressources humaines appliquées à son développement économique.

Monsieur le président,
Sur le plan qualitatif, votre argumentaire aurait un sens, si vos frères n’étaient pas des esclavagistes, des bourreaux, des agresseurs, des menteurs qui ont rougi la vérité, falsifiée l’histoire du monde, blasphémé ce qui est sacré (la vie) et nui à l’espèce humaine. Votre argumentaire tacite aurait un sens si les États que vous dirigiez n’avaient pas pillé le trésor d’Haïti avant, pendant et après l’occupation de 1915; si les États que vous dirigiez n’avaient pas combattu avec mauvaise foi, persécuté et quelque fois assassiné les hommes intègres et intelligibles d’Haïti dans des séances de coups d’états sanglants à l’origine de son instabilité politique comme par exemple les coups d’états de 1988, 1991, 1946 et l’enlèvement de 2004. Tous ces tracas d’Haïti ont été systématisés par votre homologue Mr. Franklin D. Roosevelt dans une littérature tristement déshumanisante et déshumanisée que voici : « Il faut soulever constamment les va-nu-pieds contre les gens à chaussures et mettre les gens à chaussures en état de s’entre-déchirer les uns les autres pour avoir une prédominance continue sur ce pays de nègre qui a conquis son indépendance par les armes… »

Vraiment, monsieur le président, un peuple éveillé ne restera jamais sous la corde maudite de cette formule aussi absurde que ça, jusqu'à accepter le statu quo des maux les plus odieux commis à l’espèce humaine; la misère la plus chronique imposée par la puissance États-Unienne et qu’aucun peuple ancien n’ait jamais subi durant deux siècles de son histoire après la prise de sa liberté (1804-2018) et trois siècles passés dans la servitude dans des conditions les plus féroces (1503-1804). De toute façon, Haïti devait éveiller pour se débarrasser de la puissance États-Unienne.

Monsieur le président,

Sur le plan quantitatif, vous n’êtes pas le premier à avoir pissé votre liquide raciste sur le peuple négro-haïtien, il semble que c’est pour la première fois qu’il se fait si grossièrement connu de ceux qui sont susceptibles de penser et de réfléchir pour systématiser en ce sens comme par exemple Joseph Arthur( comte de) Gobineau( 1853-1855), le père et champion du racisme. Sincèrement, il n’existe pas de chef États-Unien qui soit plus intègre que vous depuis Mrs John Hanson à Obama. Cependant, ces deux derniers présidents noirs états-uniens avaient employé une hypocrisie raffinée contre le Continent Noir, contre les pays de la Caraïbe et de l’Amérique Latine. Par contre, vous serez un grand président si votre intégrité se joint à un peu de culture, monsieur le président. Mais, on n’est jamais trop riche ni trop simple d’esprit et trop vieux à l’apprentissage. Je tiens à vous informer que depuis au XIXe siècle, Joseph Anténor Firmin(1885) a mis à mort la thèse raciste et sentimentaliste de Gobineau. Et que le siècle suivant, le savant africain Cheikh Anta Diop a mis à mort tous les théoriciens racistes de Hegel, Hume, Voltaire à Arnold Toynbee. C’était plus précisément dans les actes du colloque de Caire(1978), organisé par UNESCO en 1974 sur « le déchiffrement de l’écriture méroitique des peuples nubiens et le peuplement de l’Égypte ancienne »(Égyptologie)
Depuis ce jour-là, tous les blancs formés et cultivés ont compris l’apport de « l’Afrique à la civilisation », celle-ci a été la thèse gagnante soutenue par Cheikh Anta Diop. Une autre vérité scientifique devait être à votre avis, Monsieur le Président, que vous êtes frères d’origine des noirs. Ce qui présuppose que vous êtes héritier de la culture Négro-africaine. Il a été démontré par Yves Coppens qu’il existe une seule souche raciale de l’humanité (Voir Yves Coppens, l’Histoire de l’Homme, 2008). On peut comprendre qu’il existe deux types de Noirs dans toute l’humanité : des noirs authentiques d’où l’appartenance des Nègres d’Afrique et d’Haïti; et des noirs décolorés d’où l’appartenance des caucasiens et des aryens( auto-ethnonyme des premier européens).

Il n’est pas encore démontré d’autre souche référentielle à l’avènement de l’Homo que « la souche noire ». De telle investigation scientifique menée par Cheikh Anta Diop prouvant « l’apport de l’Afrique à la civilisation » est comprise par tous les civilisés du monde. Aucun homme cultivé du monde n’osera soulever ce débat stérile qu’un coin de l’humanité soit « de merde » avec planification méchante du « racisme institutionnel » (Voir Carmichael Stokely) et des hommes insensés liés étroitement aux idées crasses que la « merde » d’un pays soit la fierté des malfaiteurs occidentaux. Mais, là, tout homme qui n’est pas encore débarrassé de quelle que soit appartenance ethnique, est incontestablement ce qu’il planifie.

Nous sommes convaincus que vous n’êtes pas n’importe qui. Mais, votre intégrité, monsieur le président, si elle ne se joint pas à un peu de culture pourra vous qualifier d’impulsif et d’instinctif. J’ai peur pour vous, monsieur le président, car l’histoire n’aura pas de gomme. Cependant, vos frères occidentaux n’auront plus accès à la falsification de l’histoire moderne. Dans ce cas, de votre bonne foi, vous pouvez être victime de voir enfin que les dirigeants d’Haïti passent à l’examen de la conscience appliquée pour retirer ce pays dans la « merde ». Mais, Monsieur le président, soyez votre arrogance en ce qui est de la matrice de la liberté (Haïti), car, elle n’a jamais empêché les États-Unis à monter (NASA) en puissance et en intelligence (Anténor Firmin. L’effort dans le mal, 1909), mais, elle n’a trouvé que l’ingratitude de ces États qu’elle a soutenus depuis leur histoire existentielle.

Monsieur le président,

D’un coté, vous avez raison. Les perceptions permettant de qualifier Haïti de « pays de merde » ne sont pas isolées d’un système corruptif des dirigeants haïtiens depuis 1807 à nos jours. Qu’ils se ressaisissent aujourd’hui. Vous pouvez être le meilleur catalyseur à leur conscience évolutionnaire. Les élites haïtiennes trahissent la race. Elles sont des élites en transites et de nature prédatrice et enfin elles sont des purs ennemis d’Haïti.

D’un autre coté, la décadence de l’Amérique se joint à la « merde d’Haïti et des peuples d’Afrique ». De manière automatique, parler d’Haïti, c’est faire allusion aux noirs. Pourtant, un écrivain nous informe que « L’Amérique ne sera jamais en décadence à cause des noirs »( Roger Pereyfitte, les américains, P. 360) et la raison semble être aussi simple que ça « Là où tombe une goutte de sang noir, tout refleurit »( Ibid, p.360). Alors, tous les hommes de la deuxième catégorie des noirs, en l’occurrence les blancs ou noirs décolorés, faisant référence aux noirs authentiques, recourent à la nature de la chose soit pour tenter de falsifier de nouveau l’histoire moderne ou pour se faire voir. En éthique, cela a une valeur : principe de délibération, soit la règle d’un jugement. Par contre, tout noir décoloré, l’est à cause de la malformation de la synthèse de la vitamine D (Voir Yves Coppens, 2008). Cela ne doit pas à l’origine d’un conflit racial qui perdure jusque-là, parce que les noirs authentiques sont pour rien dans tout cela. C’est un ordre naturel que le noir cesse d’être « le grand problème » (Roger Peyrefitte, les américains p 359). À bien comprendre l’humanéité et la qualité bénignes des noirs, on finit par comprendre que « le problème est résolu », parce que tous les hommes civilisés ne peuvent qu’ « apprendre à aimer les noirs »(Ibid p. 359). Et bientôt, ils auront touché du doigt la nécessité imminente pour édifier une civilisation planétaire au model de Cheikh Anta Diop, parce que nous sommes tous venus de la même souche raciale et civilisatrice.
Monsieur le président,
« Restez naturel » comme vous l’êtes. Vous voulez entrer dans l’histoire, mais accrochez- vous à la règle sacrée : « Boire le rhum et respecter la bouteille »

Professeur Wilson Dolcin.
33227295

22 octobre 2017

Bibliographie de Wilson Dolcin

DIALOGUE AVEC L’UNIVERSITÉ/ Argumentaire

Argumentaire
Face aux dysfonctionnements structurels de la société ; face aux crises incessantes de l’université en Haïti, le professeur Wilson Dolcin a systématisé une réflexion inventive basée sur la culture de l’intelligence représentée par l’image sur la couverture symbolisant que ‘’l’homme est un oiseau investigateur’’ et d’une immensité de sens : « Le fini ouvert à l’infini ne sera jamais fini, mais la combinaison donne l’indéfini, défini et redéfini par l’intelligence. D’où provient la nouvelle théorie comportementaliste sur la CI (Culture de l’Intelligence).

L’auteur nous laisse l’idée que « l’intelligence est à exploiter et cultiver ».

Bibliographie de Wilson Dolcin
Wilson Dolcin, né le 15 mars 1976 à Camp-Louise, première section Communale de l'Acul-du- Nord, classé dans la galerie des grands écrivains novembre 2012 sur le site canalblog.com, tenu par Emmila Gitana, il a publié dans Francopolis ses pièces poétiques dont "Soleil des morts" en décembre 2013, est "écrivain révolutionnaire haïtien"( Francopolis, 2013), philosophe transhumanisé.
Professeur des Sciences de l’éducation spécifiquement unité de méthodologie du travail universitaire(UMTU), auteur de nombreux titres tels Kita Nago et la formule de Franklin Delano Roosevelt, Edilivre, 2015, 243 pages; Le poète en politicien... Edilivre, 2016; Si Martelly pouvait prophétiser sur Ayti, Yeney Pc & Pcs 2012; Un Témoignage à Tropicana, 2003 et enfin Dialogue avec l’université, nouvelle théorie comportementaliste sur la culture de l'intelligence, Edilivre, mars 2017, Imp, Print it, octobre 2017

prochains Livres:

Comment tout tourne à Yoye!

Tout ce que je sais, je sais que je sais.

fonctions

 Il est fondateur du centre de recherche et d'initiative juvénile pour l'émancipation de la culture de l'intelligence( CRIJEC); En mai 2013, il prend l'initiative  avec Saradjeen Marius pour fonder la fondation de la nouvelle Ayiti(FONAY) et implanter l'ecole universitaire de la nouvelle Ayiti( EUNA) dont un plan d'école renovatrice est systhématisé sous theme: Education et réforme: option urgente pour une école ayitienne. 

Education

Dans son livre " Dialogue avec l'université", Wilson se réserve de parler de sa formation universitaire, il laisse ses interlocutaire dire et dedier ce qu'il est, son niveau de scolarité, sa formation superieure, son domaine de competence. Et une majorite d'entre eux dedient qu'il est digne d'ètre appelé intellectuel, un grand écrivain, un psychologue qui n'est pas éprouvé, un petit snobiste qui écrit n'importe quoi. majorité de ces perceptions viennent de l'horizon juvénile et de ses amis jeunes. Bien au contraire, le pasteur Jean Claude BAZIN, PH.D en Education Religieuse dit que" Wilson Dolcin parle en détenteur d'un bac+8", tandis que son ami d'enfence en a deja fait une mention en disant " Paul( ti nom lakay), tu parles en Maitre". Ce n'est pas tout, c'est aussi dans  une ambiance pareille qu'il a rencontré  Jean-Jacques CADET, le doctorant en philosophie, université Paris 8 qui lui confiait que ses approches des Marx étaient irreprochables et rationnelles. De ses prises de position, il a pu connaitre encore une fois une renomée internationale dans une production d'équilibre faite  pour expliquer un differend qui existait entre son ami Jean-jacques CADET et  Ricarson DORCE concernant une tentative de plagiat sur Jacques Roumain( Texte publié dans le nouvelliste).

En réalité, apres tant d'exploits et de calomnies, Wilson Dolcin a accepté d'acheminer un parcours universitaire que tardivement. De grace, il a obtenu sa licence en FLE( UEH/ UAG) et inscrit maintes fois au programme de master en  fle, et philosophie en ligne ( Sthandal Grenoble 3/ cned) qu'il n'a pas tenu avec rigueur., mais qui croit dans la splendeur de la recherche personnelle, émanation de la pédagogie de libération avec argumentaire que " Le professeur ne peut tout dire aucun  étudiant au monde" 

En bref, son Education ne dépend pas seulement d'une institution universitaire, mais il aime surtout qu'on lui laisse libre coup au champ de la recherche individuelle. Car, depuis son avenement à l'école, Wilson est l'un des tout- petits éleves/ étudiant à avoir pu rectifier aux professeurs qui transmettent par ignorance des mensonges. Il a pris position contre un professeu r( réserve de citer son nom) de méthodologie du travail universitaire au sujet de la citation et de notes au bas de pages. C;est comme s'il sait pertinemment qu'il y a trop de vide à combler dans l'enseigenemt universitaire et qu'il n'a rien à envier des étudiants( nouveaux et anciens) qui n'ont pas été mis à l'exercice de la production de savoirs, comme deuxieme role de l'université qui incombe la recherche.

Témoignage de sa compétence.

Qui peut resiter d'ecouter Wilson Dolcin quand il parle surtout dans un champ qu'il maitrise? Au départ qui prendra au serieux ce petit de chair, maigre et sans privileges de ressources économiques? Mais, assurément à l'entendre aux emissiosn BLocus avec PRG: Pierre Richard Guillaume, Kafou avec konpe Filo, Espace avec Danel pour ne citer que ces trois références, on peut  touher à son intelligibilité et conclure vraiment qu'il n'a rien à envier aux autre intellectuels...c'est une fierté en plus puisqu'il à la possibilité de systématiser ses pensées.

30 avril 2017

LETTRE OUVERTE AUX UNIVERSITAIRES HAÏTIENS ET DIRIGEANTS DE L'ETAT D'HAITI

LETTRE_OUVERTE_AUX_UNIVERSITAIRES_HAITIENS_ET_DIRIGEANTS_DE_L_ETAT_D_HAITI

 

LETTRE OUVERTE  AUX UNIVERSITAIRES HAÏTIENS  ET AUX  DIRIGEANTS DE L’ÉTAT D’HAÏTI.

 

LE 30 AVRIL 2017 par WILSON DOLCIN

 

Messieurs les frères d’ethnie : universitaires et dirigeants d’Haïti,

L’heure est venue pour recontextualiser la mission que l’existence nous assigne dans ce petit coin de l’humanité : Haïti que nous partageons tous ensemble comme héritage sacré que nous devons protéger et défendre contre toutes les controverses du monde extérieur et d’ailleurs.

Notre mission est une lutte à vie… guidée par la Culture de  l’Intelligence.

 

Je m’engage depuis plus de 17 ans à créer une structure didacticielle répondant au nom de centre de recherches et d’initiative juvénile pour l’émancipation de la culture (CRIJEC). C’était pour faciliter aux jeunes la tâche de la production de leur mémoire de sortie. Toutes ces démarches entreprises n’ont pas de succès auprès des élites haïtiennes. Minimisé, offensé et qualifié de fou parce que je suis fils de Camp-Louise, première section communale de l’Acul du Nord (né sur l’habitation de Bas-Berno, Nan pied d’or), une identité rattachée à laquelle je ne me sens jamais à l’aise de négliger.

 

Primo : je dis clairement que tout processus d’implantation d’école commence par le bien-être social; et que c’est une injonction qu’elle soit adaptée au réel vécu du milieu dans lequel elle est implantée tout en tenant compte des réalités sociales et culturelles de ce milieu. L’on touche maintenant à l’absence d’une école/ universitaire ayitienne.

Secondo : Le devenir intellectuel débute par une plaidoirie des droits des pauvres dans notre monde axée sur une remise en question de l’université dans son rôle révolutionnaire en élaborant des pistes de résolutions (non pas des solutions) aux multiples dysfonctionnements structurels de la société.

C’est tout simplement une révolution culturelle extraite de la culture de l’intelligence exigeant que les jeunes passent de la médiocratie à la méritocratie incluant le champ de l’expérimentation psychique pour surpasser et défier les premiers magiciens de l’histoire. Notre nouvel espoir provient de l’horizon juvénile, mais avec des jeunes doués et excellents parce que le changement positif qu’attend les pauvres d’Haïti est un processus mental et rationnel : donc consciencieux.

L’objectif de cette lettre c’est pour qu’il y ait une nouvelle expérience tendant à renouveler des horizons épistémologiques sur la naissance d’une nouvelle philosophie des sciences manifestée en deux points forts conformément à la loi sur la liberté et responsabilités des universités (LRU) :

Implantations d’un service didacticiel et d’une piste d’expérimentation dans chaque département du pays afin que les jeunes soient prêts aux offres d’emploi  conformément au curriculum caché : Licence et cinq ans d’expériences.

 

Messieurs les universitaires haïtiens, messieurs les dirigeants de l’État d’Haïti, l’existence du complot mystifié vous incombe à répondre aux forfaits qui n’ont jamais été planifiés dans aucun autre pays de l’humanité : la barbarie imposée, l’institutionnalisation de la médiocratie, la conversion de l’intelligence et de l’excellence au profil bas, l’invention du mal, le phénomène anti-épistémologique de la science des politicards au plus haut  niveau des choses sacrées de la nation; et tout ceci fait de vous un pôle complice de la misère de la masse haïtienne, des inventeurs de la malédiction, des planificateurs de la pauvreté classique et des phénoménologues in-transcendés, des devanciersaux cornes percées de tourments  qui égorgent l’avenir des jeunes, vendent leur âme à l’imposture scientifique.

Désormais, apprenez ceci, il n’existe pas de pays nés scientifiques, il existe des disciplines scientifiques appliquées dans un pays. Notre Haïti est un pays qui clame sans cesse la technopolisation du système archaïque pour diminuer la misère importée et inspirée aux doctrines sacrificielles de la religion occidentale. Soyez  armé de l’intelligence pour éviter les méfaits du capitalisme cognitif.

Comment demander à la race de croître pendant que vous instaurez un mécanisme tuant les spermatozoïdes dans votre système politico-universitaire? Comment discourir sur le déblocage d’un pays pendant que votre système électoral ne tient pas compte d’une philosophie électorale émanant des ruses et de la philosophie de l’Éducation? Comment planifier des choses grandioses sans avoir la profondeur et une longueur en plus de la chose planifiée?

Élites haïtiennes, vous êtes prédatrices, vous trahissez, et votre trahison cause la mort de la société haïtienne justifiée de bêtise et de médiocratie imposée par des hommes médiocres et envoûtés.

Je vous confère cette vérité que « tout commence en mystique et finit en politique ». Et que 2017 est l’année à profiter pour permettre à Haïti l’application de sa pierre philosophale. Cette année se retrouvera encore en 2026                             ( 2+0+1+7=10=1+0=[1]).

Et c’est maintenant que tout doit commencer !

 

Wilson DOLCIN, auteur, classé  dans la galerie des grands écrivains en novembre 2012 sur le site canalblog.com, tenu par Emmila Gitana. Il est selon Francopolis le poète / écrivain révolutionnaire haïtien (2013). Il publie en aout 2015 «  Kita Nago et la formule de Franklin Delano Roosevelt » et «  Dialogue avec l’université […] en 2017 Chez EDILVRE PARIS.

 http://emmila.canalblog.com/archives/2012/11/25/25662543.html

Dolcin Wilsonwww.francopolis.net

Contact : wilsondauteur@yahoo.fr   / (509)33227295

 

 

5 septembre 2016

Haiti reforme et éducation / Plan par Wilson Dolcin Écrivain et spécialiste en Sciences de l'Ed.

Extrait de plan de Reforme edu. Introduction

La pensée par la pensée qui fait penser que vous pensez à l’Éducation fait penser que l’éducation pense à vous ; si vous pensez que la pensée de l’Éducation vient de la vision de construire des cerveaux universellement applicables, vous avez raison de comprendre que l’Éducation ait un rôle transdisciplinaire émanant d’un processus mental et rationnel.

Éducation se révèle de nature évolutive  et temporairement statique parce qu’après chaque réforme, elle fait exigence de rénovation pour mieux s’adapter au changement positif des choses humaines. Toujours est-il, un ensemble de discussions se portant sur la nouvelle éducation, capable de mieux adapter aux conditions modernes et à la vie, s’est déclenché : « il faut qu’elle passe de l’initiation à l’initiative » découlant sur « l’école de la vie ». Cela se fait partout dans le monde. Et on est d’avis que toutes les choses du monde sont naturelles et conventionnelles.

            Le problème, lié au contexte haïtien, c’est que l’ensemble de ces discussions est loin de faire l’objet des intérêts collectifs et nationaux, mais personnels et mesquins rivés  étroitement du petit ‘’je’’ minuscule, infirme et vide qu’à tel point notre histoire éducative est plus que maigre en réformes et ne retient que celle de Bernard (1979-1982), échouée à cause d’une série de crises socio-économico politiques insurmontables.  Mais, en réalité cela a été un prétexte, car toute réforme éducative est vouée au même blocage de l’axe parlementaire. On assiste à un  culte de bonnes intentions inappliquées : référence faite à la politique de l’éducation.

Généralement, la notion de la gratuité et de la démocratisation quantitative de l’enseignement est notée dans les constitutions haïtiennes du XIXe siècle au XXe siècle. Mais, les  inégalités sociales ne sont pas encore réduites. « …il existe des intelligences inégales dont l’inégalité n’est pas socialement déterminée, et qu’il suffit de détecter méthodiquement les aptitudes dont elles sont porteuses pour les voir s’adapter aux besoins de l’économie dans une sorte d’harmonie universelle[1]. » La déduction d’une théorie existentielle sur la chose éducative est presque sans équivoque, mais isolée des conditions didactiques: didactique de l’expérimental par l’expérience-action est achoppée à un vide de beaux parleurs.

 

J’ai peur pour le pays. J’ai  aussi peur en me demandant qui donc suis-je pour proposer un plan de réforme éducatif à l’élite haïtienne[2] qui, seule, est capable de le promouvoir. En tous cas, la logique pure, les circonstances conscientes et les raisons humanistes me contraignent. L’histoire seule va retrancher bien ou mal.

La manifestation de ce plan éducatif venu d’une dictée lointaine comparable à la rédaction d’un recueil de Veda se porte d’une conscience de ce que sont l’inspiration et l’expérimentation.

La politique de l’Éducation émane d’une vision d’État. L’application de ce plan est liée à l’implication trilogique formelle du Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP), de l’exécutif et du parlement. Voilà la méthode d’attaque pour doter de ce pays d’une école natif natal[3] émanant d’une mission éminemment exaltante, mais difficile.[4] !

Sur le plan historique, le développement des peuples passe par l’Éducation. Développement comme  processus  mental et rationnel résulte de la culture de l’intelligence.[5] On est presque sans équivoque que ce changement dont nous parlons est élitique. Mais d’une « élite éduquée aux intérêts de la masse. » Pour ce peuple qui veut voir l’horizon d’un jour meilleur, il est une nécessité de parvenir aux moyens pour faire la reconversion paradigmatique des axes scolaire et universitaire inspirés d’abord d’une méthode permettant à chaque hattien de jouir ses droits fondamentaux de manière rationnelle: droit à l’alimentation par exemple.

 Et moi aussi, par cette tentative,  je pense que je suis haïtien à l’humano-mania. C’est en quoi je reconnais avoir été utile à mon petit pays. C’est à cela que j’ai conceptualisé ce plan grosso modo et  je vous ai invité à y prendre part. Il suffit pour vous et moi de payer une dette sociale.

Donc, c’est maintenant que tout doit commencer !                 

                                                               

 

Wilson Dolcin

 

 

 

 

 

 



[1] André Robert. Système éducatif et reforme, paris, Nathan, 1993, p43.

[2] Haïti a besoin d’une « élite de mérite », mais pas une « élite de naissance »

[3] Authentique

[4] Mission possible en Haïti, c’est toute ma confession, je crois et je veux.

[5]  La réforme Goblot peut être prise en exemple à la compréhension de la création d’ENA axée sur une sorte d’Education civique et/ou élitique française.

I. Introduction

La pensée par la pensée qui fait penser que vous pensez à l’Éducation fait penser que l’éducation pense à vous ; si vous pensez que la pensée de l’Éducation vient de la vision de construire des cerveaux universellement applicables, vous avez raison de comprendre que l’Éducation ait un rôle transdisciplinaire émanant d’un processus mental et rationnel.

Éducation se révèle de nature évolutive  et temporairement statique parce qu’après chaque réforme, elle fait exigence de rénovation pour mieux s’adapter au changement positif des choses humaines. Toujours est-il, un ensemble de discussions se portant sur la nouvelle éducation, capable de mieux adapter aux conditions modernes et à la vie, s’est déclenché : « il faut qu’elle passe de l’initiation à l’initiative » découlant sur « l’école de la vie ». Cela se fait partout dans le monde. Et on est d’avis que toutes les choses du monde sont naturelles et conventionnelles.

            Le problème, lié au contexte haïtien, c’est que l’ensemble de ces discussions est loin de faire l’objet des intérêts collectifs et nationaux, mais personnels et mesquins rivés  étroitement du petit ‘’je’’ minuscule, infirme et vide qu’à tel point notre histoire éducative est plus que maigre en réformes et ne retient que celle de Bernard (1979-1982), échouée à cause d’une série de crises socio-économico politiques insurmontables.  Mais, en réalité cela a été un prétexte, car toute réforme éducative est vouée au même blocage de l’axe parlementaire. On assiste à un  culte de bonnes intentions inappliquées : référence faite à la politique de l’éducation.

Généralement, la notion de la gratuité et de la démocratisation quantitative de l’enseignement est notée dans les constitutions haïtiennes du XIXe siècle au XXe siècle. Mais, les  inégalités sociales ne sont pas encore réduites. « …il existe des intelligences inégales dont l’inégalité n’est pas socialement déterminée, et qu’il suffit de détecter méthodiquement les aptitudes dont elles sont porteuses pour les voir s’adapter aux besoins de l’économie dans une sorte d’harmonie universelle[1]. » La déduction d’une théorie existentielle sur la chose éducative est presque sans équivoque, mais isolée des conditions didactiques: didactique de l’expérimental par l’expérience-action est achoppée à un vide de beaux parleurs.

 

J’ai peur pour le pays. J’ai  aussi peur en me demandant qui donc suis-je pour proposer un plan de réforme éducatif à l’élite haïtienne[2] qui, seule, est capable de le promouvoir. En tous cas, la logique pure, les circonstances conscientes et les raisons humanistes me contraignent. L’histoire seule va retrancher bien ou mal.

La manifestation de ce plan éducatif venu d’une dictée lointaine comparable à la rédaction d’un recueil de Veda se porte d’une conscience de ce que sont l’inspiration et l’expérimentation.

La politique de l’Éducation émane d’une vision d’État. L’application de ce plan est liée à l’implication trilogique formelle du Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP), de l’exécutif et du parlement. Voilà la méthode d’attaque pour doter de ce pays d’une école natif natal[3] émanant d’une mission éminemment exaltante, mais difficile.[4] !

Sur le plan historique, le développement des peuples passe par l’Éducation. Développement comme  processus  mental et rationnel résulte de la culture de l’intelligence.[5] On est presque sans équivoque que ce changement dont nous parlons est élitique. Mais d’une « élite éduquée aux intérêts de la masse. » Pour ce peuple qui veut voir l’horizon d’un jour meilleur, il est une nécessité de parvenir aux moyens pour faire la reconversion paradigmatique des axes scolaire et universitaire inspirés d’abord d’une méthode permettant à chaque hattien de jouir ses droits fondamentaux de manière rationnelle: droit à l’alimentation par exemple.

 Et moi aussi, par cette tentative,  je pense que je suis haïtien à l’humano-mania. C’est en quoi je reconnais avoir été utile à mon petit pays. C’est à cela que j’ai conceptualisé ce plan grosso modo et  je vous ai invité à y prendre part. Il suffit pour vous et moi de payer une dette sociale.

Donc, c’est maintenant que tout doit commencer !                 

                                                               

 

Wilson Dolcin

 

 

 

 

 



[1] André Robert. Système éducatif et reforme, paris, Nathan, 1993, p43.

[2] Haïti a besoin d’une « élite de mérite », mais pas une « élite de naissance »

[3] Authentique

[4] Mission possible en Haïti, c’est toute ma confession, je crois et je veux.

[5]  La réforme Goblot peut être prise en exemple à la compréhension de la création d’ENA axée sur une sorte d’Education civique et/ou élitique française.

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